Si vous écris aujourd'hui, c'est pour vous faire une confession intime totalement délirante. Cela pourra vous paraître pleinement insensé et impensable, mais je vous assure sur l'honneur que tout ce que je vais vous raconter est la stricte vérité et qu'aucun détail n'a été rajouté.
Je vais vous parler de ma voisine de palier. Mais je vais commencer par me présenter je m'appelle Stéphane, j'ai 38 ans. Je vis dans un appartement cossu à Paris dans un immeuble bourgeois. Il y a un seul appartement sur mon palier et il est occupé par un couple d'une cinquantaine d'années. L'homme est toujours au travail et ma voisine est très souvent seule mise à part la visite de quelques copines. C'est une belle femme bourgeoise comme on l'imagine mais avec des formes généreuses. Elle m'a toujours tapé dans l'œil même si je l'ai sentie un petit peu coincée. J'ai souvent pensé qu'ils ne devaient pas s'amuser tous les deux au lit. Je n'ai d'ailleurs jamais entendu de lit couiner ou bien alors de gémissements coquins. Un jour, j'ai eu la grande surprise de la voir sonner à ma porte. J'étais en train de faire des petits travaux de bricolage chez moi et j'étais torse nu. Je lui ai tout de même ouvert la porte ne sachant pas que c'était elle. Elle m'a regardé et m'a dévisagé avant de finalement me parler d'un problème de messagerie. Elle sait que c'est mon travail, elle a bien fait de me poser la question. Je lui ai proposé de passer regarder son ordinateur après avoir enfilé un T-shirt. J'ai été surpris lorsqu'elle m'a dit que ce n'était pas la peine que je pouvais venir comme ça. Tout s'est enchaîné très vite. Je suis allé chez elle et tandis que j'étais penché sur son ordinateur, elle a commencé à me toucher. Je n'ai pas pu résister à la douceur de ses caresses et je me suis retourné pour l'embrasser à pleine bouche. Tandis que je la pelotais contre le mur, j'ai senti qu'elle défaisait le bouton de la braguette de mon short. Cela aurait été plus facile de le baisser mais madame a des manières. Elle a sorti mon sexe et s'est mise à genoux pour me faire une fellation extraordinaire. La douceur de sa bouche était un véritable supplice. Je suis célibataire alors autant vous dire que j'ai les couilles souvent pleines. Elle sentait que j'avais de beaucoup de mal à résister à sa petite langue qui venait agacer mon gland. Elle m'a alors rattrapé par la queue et m'a emmené dans la chambre à coucher. Elle m'a jeté sur le lit puis s'est déshabillée. Elle avait un corps magnifique. Elle est venue se positionner au-dessus de moi en 69 et a plaqué sa croupe contre ma bouche que j'ai dévorée à pleine langue. Je lui ai aspiré les jus intimes de la chatte et agacé son petit anus avec les doigts. J'ai essayé en vain de prendre le contrôle de la situation. Elle dirigeait tout d'une main de maître. Les positions, la cadence, et même l'éjaculation finale qu'elle a voulue sur sa joue. Je n'avais aucun contrôle.
Après avoir fait notre petite affaire, je suis retourné chez moi prendre une douche. Lorsque je suis sorti, j'ai reçu un nouveau message. C'était un e-mail de ma voisine qui me remerciait pour le dépannage et qui me provoquait en me disant que demain « elle aurait un petit trou vers 15 heures que je pourrais combler si je le désirais ». Je peux vous dire que son petit trou, j'en ai fait mon affaire !
Stéphane 38 ans.